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1710 : Joseph de Jouvancy

Candidatus rhetoricae

Joseph de Jouvancy, L’Élève de rhétorique (Candidatus rhetoricae, 1e éd. 1710, 1e trad. 1892), édité par les équipes RARE et STIH sous la direction de D. Denis et Fr. Goyet, Paris, Classiques Garnier, 2019, première partie, "Comprenant les premiers éléments de rhétorique relatifs à l'invention", chap. VII, "Des lieux intrinsèques", " De l'Étymologie et des Dérivés", p. 72-75 et chap. IX, "Exemples des lieux intrinsèques", art. II, "Exemples des lieux de l’Énumération des parties et des Dérivés", p. 90-95. 

 

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1765 : Jean-Baptiste Crevier

Rhétorique française

Jean-Baptiste Crevier, Rhétorique française (1765), Paris, Saillant, 1767, 2 tomes, t. 2, p. 128-129.

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1837 : Joseph Victor Le Clerc

Nouvelle Rhétorique, extraite des meilleurs écrivains anciens et modernes

Joseph-Victor Le Clerc, Nouvelle Rhétorique, extraite des meilleurs écrivains anciens et modernes, suivie d'Observations sur les matières de composition dans les classes de rhétorique, et d’une Série de Questions à l’usage de ceux qui se préparent aux Examens dans les Collèges royaux et à la Faculté des Lettres, Bruxelles, Société belge de librairie, etc., Hauman, Cattoir et comp°, 1837 (1ère éd. 1823), p. 236

 

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Dictionnaires et encyclopédies

CN. Vossius.

Furetière

Dérivation, en termes de Grammaire, se dit de la liaison ou affinité qu’un mot a avec un autre pour en avoir été formé originairement.

 

Encyclopédie

[Dumarsais]

C’est un terme abstrait pour marquer la descendance, &, pour ainsi dire, la généalogie des mots. On se trompe souvent sur la dérivation des mots.

 

Dérivé, ée, part. pass. de dériver, terme de Grammaire : ce mot se prend substantivement, comme quand on dit le dérivé suppose un autre mot dont il dérive. On appelle dérivé, un mot qui vient d’un autre qu’on appelle primitif. Par exemple, mortalité est dérivé de mort, légiste de lex. Ce mot dérivé vient lui-même de rivus, ruisseau, source, fontaine où l’on puise. Notre poésie ne souffre pas la rime du dérivé avec le primitif, comme d’ennemi avec ami.

 

Littré

Terme de grammaire. Manière dont les mots d’une même racine se forment les uns des autres par le changement de désinences. Les règles de la dérivation.