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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1547)

Aristote, De Arte Rhetorica libri tres, trad. lat. Marcantonio Majoragio (1514-1555, 1e éd. 1547?), Padoue, Presses du Séminaire, 1689, liber III, caput VI, « De secunda virtute elocutionis, quae est, ut sit grandis, ac magnifica », p. 362-364.

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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1654)

Aristote, Rhétorique, trad. François Cassandre, 1re éd. 1654, La Haye, Isaac Vaillant, 1718, livre troisième, chap. VI, « De l'Enflure », p. 393-396.

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94 : Quintilien

De l'Institution de l'orateur

Quintilien, De l’Institution de l’orateur, trad. Nicolas Gédoyn, Paris, Grégoire Dupuis, 1718, livre douzième, chap. X, « Quel genre d'Eloquence l'Orateur doit employer », p. 847-849.

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1765 : Jean-Baptiste Crevier

Rhétorique française

Jean-Baptiste Crevier, Rhétorique française (1765), Paris, Saillant, 1767, 2 tomes, t. 2, p. 305-307.

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Dictionnaires et encyclopédies

Littré

Qui a un caractère de noblesse et d'élévation.

Quel est ce vieillard blanc, aveugle et sans appui ?

Serait-ce un habitant de l'empire céleste ?

Ses traits sont grands et fiers… [Chénier, Idylles]

 

Terme de beaux-arts. Grande manière, manière appropriée aux sujets nobles, aux compositions vastes et de grandes dimensions.