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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1550)

Aristote, De Arte Rhetorica libri tres, trad. lat. Marcantonio Majoragio (1514-1555? 1e éd. d'extraits : Paolo Beni 1524? 1e éd. intégrale 1550), Padoue, Presses du Séminaire, 1689, liber III, caput VIII, « De quarta virtute elocutionis, quae est, ut sit numerosa », p. 369-372.

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325 av. J.-C. : Aristote

Rhétorique (1654)

Aristote, Rhétorique, trad. François Cassandre, 1re éd. 1654, La Haye, Isaac Vaillant, 1718, livre troisième, chap. VIII, « Du Nombre », p. 402-406.

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94 : Quintilien

De l'Institution de l'orateur

Quintilien, De l’Institution de l’orateur, trad. Nicolas Gédoyn, Paris, Grégoire Dupuis, 1718, livre premier, chapitre VI, « Des perfections & des vices de l'Oraison », p. 41 ; livre troisième, chapitre VI, « Ce que c'est que l'estat de la Cause ; d'où il se prend ; si c'est le Demandeur ou le Deffendeur qui l'establit : Combien il y en a, & quels ils sont », p. 170.

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1671 : Le Gras

La Rhetorique Françoise

Le Gras, La Rhetorique Françoise ou les preceptes de l'ancienne et vraye eloquence accomodez à l'usage des conversations & de la Societé civile : Du Barreau : Et de la Chaire, Paris, A. de Rafflé, 1671, Troisième partie de la Rethorique, « De l'Elocution », chap. V, « Du Nombre », p. 228.

 

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Dictionnaires et encyclopédies

Littré

L’unité, une collection d’unités, les parties de l’unité. Les chiffres servent à écrire les nombres. Nom de nombre.

La géométrie ne peut définir ni le mouvement, ni les nombres, ni l’espace ; et cependant ces trois choses sont celles qu’elle considère particulièrement. [Pascal, De l’esprit géométrique]

 

Nombre abstrait, tout nombre considéré en lui-même, sans application à rien de déterminé, dit aussi, bien que rarement aujourd’hui, nombre nombrant.

Considérer les nombres d’une manière générale ou comme applicables à tous les objets de l’univers, c’est la même chose que de ne les appliquer à aucun de ces objets en particulier ; c’est la même chose que les abstraire ou les séparer de ces objets pour les considérer à part. [Condillac, Langue calc. I, 4]

 

Nombre concret, celui qui exprime l’espèce de l’unité, comme vingt ans, cent écus, dit aussi, bien que rarement aujourd’hui, nombre nombré. Dans quatre arbres, quatre a une signification concrète. Multiplier 4 mètres 39 par 3 francs 80, pour former un certain produit, est faire une multiplication de nombres concrets.